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Un aperçu de la biodiversité des îles de l’Atlantique Sud

Cette année, le mois de septembre marque la fin du plus grand sommet mondial sur la conservation depuis Covid-19, un événement qui a rassemblé 4000 personnes à Marseille du 3 au 11 septembre pour présenter et discuter des problèmes liés à la biodiversité et au climat, ainsi que de leurs solutions.

L’utilisation de « l’action locale en tant qu’outil puissant de changement » apparaît comme l’un des engagements du Manifeste de Marseille, par lequel le Congrès s’engage à « favoriser une nouvelle approche avec un rôle significatif pour tous, des organisations de base aux gouvernements et aux communautés en passant par les entreprises ».

Ce soutien à l’action locale est l’un des piliers de BEST, un programme qui vise à permettre, à renforcer et à responsabiliser les autorités locales et les organisations de la société civile dans leur engagement en faveur du développement local et de l’utilisation des services écosystémiques locaux.

Un exemple du travail réalisé par les acteurs locaux est celui du SAERI, un institut de recherche scientifique et universitaire dans l’Atlantique Sud, qui agit en tant que partenaire local de BEST dans cette région.

Des baleines boréales aux pépinières de plantes, et des forêts et de la biosécurité aux monts sous-marins et aux forêts de gommiers. Si vous voulez avoir un aperçu des détails et des histoires extraordinaires des projets financés par BEST dans les îles de l’Atlantique Sud, consultez la présentation que Tara Pelembe, directrice adjointe de l’innovation au SAERI, a faite pour le pavillon BEST and Beyond au Congrès mondial de la nature de l’UICN.

Profitez de la vidéo!